Vers les
Arcanes du CENAST.
(CENAST :
"Consortium Européen des Nations a la Sécurité Terrienne")
1ère
Partie
La voiture arrive dans le ciel
sécurisé du "CENAST".
Les
balises de contrôle éclairent de mille feux le passage aérien.
A 70 ou 100M au dessous, malgré une visibilité
moyenne, on pouvait voir les bâtiments ultras sécurisés du Consortium qui
s'étendent à perte de vue,...
Même
avec une nuit comme celle là; sans une lueur de la lune, brumeuse et nuageuse,
on distingué le clignotement de 1000 balises lançant leurs signaux. Les flux
routiers sur lesquels ceux qui avaient le droit d’être là pouvaient circuler. Les
rampes de lancements des Ethopter, des Supers Soniques, et, grâce a sa forme
spéciale un peu ovale on distinguait les contours d’une aérogare. A quelques
kilomètres, la chose qui frappait le plus était un phare hyper puissant de
couleur verte qui transperçait tous les nuages, sauf ceux vraiment intenses. Le
plus étonnant fut que son faisceau provenait de bien plus en dessus de nous. A
cette hauteur, même sans voir par quoi il est tenu, on arrive à s’imaginer sans
difficulté de sa démesure.
Mais
tout de même, un bloc immense, sombre, apparaissait un peu flou au loin….
«Coline se disait qu'elle verra mieux
le lendemain, le gigantisme architecturale dans lequel elle s'apprêté à
rentrer".
Avec
plus de 400 Km² d’enceinte, ayant des affluents en méditerranée, et même dans
les montagnes aux nord; juste avant le plateau, dit de l'Armée; Le complexe se
situe sur plus de la moitié du Golf du Lion Français.
Guidée par un Robot Contrôleur, qui
tournait à une vitesse vertigineuse autour du véhicule, une rampe de feux
artificiels donnait la direction à prendre, et, l'engin se mit en mode automatique.
Coline,
était un peu perturbée par le vacarme assourdissant qu'avait fait le contrôleur
autour de la carlingue. Il essayait, avec son rayon, d'y détecter un quelconque
danger; De plus, après avoir libéré ses
petits coéquipiers ; sorte de petits robots de la grandeur d’une balle de
ping-pong, qui contrôlaient, dans un vrombissement électrisant, tous les composants
du véhicule ; leurs feus de contrôle, leurs radars, et, tous les scanners
synthétiques qu’elle avait du subir ne la rassurait pas.
Elle
avait l’impression d’être épiée, analysée sous tous les angles, mise a nue…...
Subitement
tout s’est éloigné, et, le véhicule,
suivant les directives que le contrôle lui avait donné, descendait
dangereusement vers la peine ombre d'un des quartiers du CENAST les moins éclairés.
Enfin
arrivé au sol, les moteurs à poussées verticales se mirent en marche, amortissant
la descente et, dans un sifflement assez lourd la voiture commençait à glissait
à 80 Cm au dessus du Sol : Vers les Arcanes du Méga Complexe.
Bien qu'elle avait eu une vision assez agréable d'en
haut, elle trouvait maintenant cet endroit austère, et d'une grande froideur.
En
effet le paysage et l’imbroglio urbain qui s’offrait a ses yeux n’avait rien
d’accueillant. Même, l’endroit ou elle été descendue était de vieux quartiers
un peu délabrés ; quelques câbles mal organisés virevoltaient sur quelques
hauteurs, avec le peu de vent qu’il y avait. Chose assez intrigante, les murs de certaines petites tours
suintaient d’un oxyde verdâtre qu’elle n’avait jamais vu au par avant, et, qui
l’attirait.
Des
résonnances dans sa tête se firent sentir, elle sentait l’électricité de son
corps se détacher peu à peu d’elle vers cet oxyde. Puis, tout redevint
normal ; « Que se passe t-il ? » pensât-elle.
Un
court instant fut écoulé.
Sortant
de ce quartier elle se rendit compte qu’il n’était pas entretenu comme les
autres, qui, avaient tout de même meilleurs allures : Certes pas d’une
grande beauté, mais entretenus…
Tel
un automate exécutant les ordres qu'on lui donne, le véhicule circulait entre
les blocs, respectant les signaux automatisés et le flux des autres VP, afin de
prendre le meilleur chemin et le plus
sécurisant.
Le flux de circulation à prendre, ordonné par le
contrôle centrale au système automatique du véhicule, passait devant des Blocs
d'Aciers noirs et de Verre, au milieu desquels, une fontaine de plus de 50 M de
Haut les enchantés. L’Acier était d’un
noir profond, lisse comme du marbre et, le verre, teinté d’un vert profond lui
aussi, scintillait d’une façon chromatique.
Ils étaient les seuls éléments agréables, dans une société ou rien
ne transparait, ou le mot sécurité est un ordre divin. La sobriété voir la
laideur des zones militaires, des bâtiments nécessaires, doit parfois être
dépassée ; Pour l’optimisation des compétences, de productivité accrue des
renseignements, et, de capacités opérationnelles plus élevées ; qui n’ont
pas grand-chose à voir avec le confort ou la beauté matérielle.....
Après
une quinzaine ou une vingtaine de minutes, étant passées devant des antennes
stellaires gigantesques, des paraboles aussi grande que trois fois un stade de
Rut-Ball ; Sur les bordures de Pulsa-28,
l’immense parabole incurvée de 20Km sur 2O ; connue et utilisée par au
moins une centaine de Galaxies plus ou moins lointaines de la notre. Dans des tunnels
sombres en dessous de bâtiments qu’il ne
fallait pas voir : Parfois même, longée un petit morceau de plage…
Le
sifflement des moteurs, baissèrent en
intensité en arrivant devant une tour immense, en forme de triangles, enchevêtrés
les un sur les autres.
Une
bâtisse d'un fer noir, venu des mines Sunériennes, qui avait en effet, des multi-triangles
construits en trois dimensions, d'une hauteur de plus de 200 Mètres, et, d'ou
s'échappaient tous les trois mètres de Haut, une ligne horizontale de lumière
discontinue, d'un jaune profond.
La
vision du bloc scintillant lui donna une impression surréelle par son
importance, et, elle reconnu l’imposante ossature qui l’intriguait à son
arrivée....
De
nouveau, les moteurs a poussée verticale redonnait de la hauteur à l'engin, le
faisant passer dans un tube, où, la lumière des cercles fluorescents entourant
celui-ci, faisait penser avec la vitesse, à un scanner.
Puis,
plus doucement, arrivé a la hauteur souhaité, il glissa sur le coté pendant 30
Mètres, et, tout s'arrêtât. Le claquement de l'arrimage au pont fit sursauter Coline, et, elle sorti d'une léthargie
inconsciente....
Elle n'est pas née sur la terre et à fait des voyages
intergalactique depuis sa tendre enfance, où elle suivait ses parents. Eux,
était de riche marchand qui possédaient leur propre vaisseau "Le
centaurus".
Pendant
sa jeunesse, après la mort de sa mère, elle devait avoir huit ans, son père
l'avait amené sur les Ruines du Château ancestral.
Elle
n'avait que peu de souvenir de cette époque, mais.... celui du CENAST restera
toujours en elle....surtout de cette période.
De
la balise la plus proche, les terres natales de ses ancêtres ne sont qu'à 15
minutes en Ethopter.
Ce
mélange de souvenirs, et, la soudaine demande de son insertion sur terre, la place
un peu dans l'inconnue.
Malgré
tous ses éléments qui se réveillait un peu en elle, de nouveau, elle songeait
aux Super Structures qu'elle venait de traverser, et, à cette réalité
défensive, donnant une assurance de grandeur pour son pays.
"Tout
est relatif" se dit-elle .... Et, la nostalgie des guerres galactique
lui revint vite.
Elle
sentait en elle une puissance biomécanique qui l'attirée de plus en plus....
-Reprend-toi ma chérie, dit-elle a
vois basse
La
porte latérale se décompressant, s'ouvrit vers le haut. ....
Là, une dizaine d'hommes et de femmes l'attendaient
d'un air hautin, sans sourire, sans un regard émotif. Pour que rien ne transparaisse ?
« Cela devait être le protocole »,
s’imagina-t-elle.
Elle
avait déjà fait un peu le point de ceux qui l’entouraient, tel un œil avisée
qui ne laisse rien au hasard.
Ils
étaient ordonnés sur deux rangées, dans un corridor d’arrivée assez bien éclairé.
À son effet, et, à celui de ses petits robots personnels, qui la suivaient tels
de bons serviteurs.
Certains,
portaient un complet noir de soie Solarienne, dont la veste remonte jusque au
bas du menton, et, accrochée par de gros boutons gris anthracite ; On
pouvait voir que c’étaient des agents à l’oreillette intégrée de leur lobe, qui
faisait une protubérance. Imperturbables Gorilles dévoué jusqu’au bout de leur
vie pour le CENAST.
D’autre,
des médecins en blouse blanche, qui accompagnaient deux professeurs,
reconnaissables à leurs fines barrettes
bordeaux, cousues aux épaulettes de leur veston blanc ; D’un style colle Mao, pareille aux agents, mais,
d’une matière beaucoup plus fine, plus légère, elle ne reconnaissait pas
vraiment le tissu.
Elle
se doutait bien qu’une « petite révision » comme ils disaient tous,
s’imposait, mais de là à Etre quatre, ….
De
plus, un peu à l’écart, au fond de la rangée, se tenaient une femme et un
jeune homme: Elle, était habillée de manière très élégante, comme lui
d’ailleurs. Tous les deux avaient du sur-mesure, Coline remarqua tout de suite qu’ils
avaient été cousu main, et dont la qualité de se travail ne se trouvait que sur
Orion. La jeune femme était en gris, d’un mélange de brodure d’or. Lui, tout en
noir de la tête au pied, avec une chemise rouge sang qui luisait tel un miroir.
L’une était de la Direction et l’autre, faisant mine de rien, avait beaucoup en
commun avec elle-même.
Elle
le su grâce a son robot, celui qu’elle avait conçu. D’un bip particulier il la
prévint d’un élément particulier.
Quelque
chose n’allait pas, … au fur et à mesure qu’elle était en train d’arriver,
plusieurs choses troublantes avaient attirées son attention. Principalement
déjà, elle ne compris pas pourquoi elle fut tant contrôlé à son arrivé, et,
pourquoi elle fut descendu par ses quartiers infâmes, qui de surcroît, en
certains endroit suinté de cet oxyde inconnu.
Pourquoi
tant de monde pour elle, y comprit des médecins et professeurs. Elle savait
l’importance qu’elle représenter pour le CENAST, mais de là à un tel
déploiement. Tout de même….et, un déploiement pas très chaleureux, un peu
austère, pourquoi faisaient-ils tous des gueules d’enterrement.
Le
vieux professeur était livide, son visage était crémeux….
Pourtant lorsque Coline sortie de l'auto, certains
yeux béats ont traversés. Le dessin des belles et longues jambes, ainsi que le
tailleur vert clair qu'elle portait, montant assez haut vers la ceinture, eu
des effets de crissements de lèvres, au seing de tout ce petit monde. Lorsque
sa silhouette toute entière était hors du véhicule, là, les yeux, y compris des
femmes présentes, se figèrent. En effet, plus qu'une belle infirmière ou une
belle dame délicatement habillée, qu'ils auraient pu entrecroiser sur les
portes personnes des grands passages de l'édifice, mais, la vision même de magnificence!
Une
femme d'une beauté supérieure, comme rarement l'on voit apparaitre.
Il
faut aller dans les constellations de la Vierge pour apercevoir des femmes
comme elle.
Coline
est très grande, avec une chevelure châtain
clair qui tombe sur un bassin à faire pâlir un synthétique.
Des
courbes, qui hantent les rêves de tout homme qui pose son regard sur ses
hanches....
Toutes
ses formes son quasi parfaites, et, son regard est d'un vert amande si intense, qu’ayant tous une rougeur apparaissant,
personne n’osa la regarder en face …
C’était
toujours comme ca, elle faisait des effets terribles et elle le savait bien…
Elle se mit à avancer jusqu’au milieu de la file. D’un
regard à droite, puis d’un regard à gauche, elle contrôla la présence des
Robots et Synthétiques quelle avait pris dans ses valises. Reprenant son pas
certain, elle se dirigeait maintenant vers la Femme du font.
« Elle brille comme un éclat de pépite et
d’argent », pensant qu’elle été l’ambassadrice du « Haut Commandeur ».
-
Que se passe-t-il dit-elle, tout ceci était-il nécessaire ?
-Il
ne faut pas traîner on peut nous surprendre…
Le
professeur, qui continuait à devenir encore plus blanc, laiteux, et bégayant,
s’interposa.
-Il
faut faire vite mon enfant, Julia va vous briffer et nous allons vite monter à
mon cabinet pour désactiver votre phénomène….
-
Que cela signifie t’il reprit-elle commençant à être exaspérée.
-
Le Haut Commandeur n’est plus, de plus vous étiez seulement dix à l’avoir,
maintenant vous n’êtes plus que deux.
-
Pour l’ordinateur central vous êtes quelqu’un d’autre dit le jeune homme d’une
petite voie. Tout à changer ici et ailleurs, et ceux qui nous envahissent
prennent possession de tout. Vous seul les connaissez, mais ils ont déjà
évolué. Ils savent que nous sommes les seuls à pouvoir les surprendre…
-
Nous sommes tout un groupe qui avons évité les contrôles après s’être rendu
compte de la malversation dit la jeune femme, tout en faisant signe vers un
monte charge, qui se trouvait à leur gauche.
Pour
Coline tout ceci était bien flou, elle comprenait qu’il y avait un sérieux
souci, mais, quelle décision prendre ?
Elle
n’avait aucuns éléments sérieux, elle se sentait prise au piège. Un panneau
indiquait « sortie » au fond du corridor, et, de toute façon un autre
robot contrôleur allait bientôt venir. « C’est surement pour cela qu’ils
sont tous là à faire la gueule », se dit elle. « C’est un mélange
d’adrénaline et de peur ; comme lorsqu’on mène une bataille qu’on sent au
fond de ses entrailles ».
Tous
simplement leurs visages étaient vides d’expressions, et elle connaissait
bien cet expression, c’était bien la
peur !!
Seraient-ils
alors les moins bons ?
Les
trois agents qui se trouvaient là était une catégorie de gardes bien
spécifiques, ils ne sont pas nombreux, en générale ils vivent corps et âme pour
le CENAST et pour la Terre. Rares sont ceux qui se sont fait corrompre dans
l’histoire de leur Agence.
Et
le vieil homme, pourquoi était il la ?
-Excusez
moi professeur, mais pourquoi vous, pourquoi quelques médecins et seulement trois personnes en plus ?
-Je
connaissais votre Père Chère Coline, et bien plus encore ; je me réjouis
de pouvoir enfin vous le révéler… et, je vous demande pardon telle la douleur
fut grande pour vous, j’en suis conscients.
S’il
vous plait Parton ! Le temps est compté !
-Oui
le temps est compté, 1 Mn 08 avant l’arrivée de ses cons, dit d’une voie rauque
l’un des gorilles.
Claire,
s’il vous plait je voudrais que vous appeliez l’ascenseur ; continuait-il
en regardant une des Infirmières présentes.
Il
sortit son arme et elle plut à Coline, qui d’un reflex en fit de même !!!
-Doucement !
Dit le professeur, pendant que tout le monde commencer à grimper dans le monte
charge.
-Ne
vous inquiétez pas dit elle j’ai bien compris que si j’activais ma machinerie
cela vous ennuierait.
En
effet tous les détecteurs se seraient mis en actions, les
« Volants », come ceux que possèdent les robots contrôleurs, seraient
arrivés en trombe, dés qu’ils auraient senti cette surabondance de flux. Ils
sont de vrais reniflards, peut être les meilleurs sur au moins la moitié des galaxies
connues ; une des fiertés du CENAST aux niveaux des contrôles primaires.
-Dépêchez-vous,
montez s’inquiétait un des médecins, ils arrivent…
De
fait le panneau de sortie clignotait avec insistance, signe d’une ouverture immédiate.
Au même moment, sans que personne n’y commande, le portail extérieur du Corridor
se refermait automatiquement.
Etonnement, Coline fut la dernière à
monter sur la plate forme qui commençait a descendre assez rapidement. Elle
espérait que le synthétique qui lui manquait était retourné a son véhicule, et
qu’il ne se sera pas fait prendre.
« Il
est toujours à la traîne, celui-là » pensa t’elle.
Elle
se retourna vers son compagnon préféré, celui quelle avait conçut ; lui,
ne la quittait pas ; Toujours collé à elle.
De
la grosseur d’une boite à chaussure, mais il avait toutes les qualités requises.
Il sortit du dessous d’un de ses membres
une tablette dactylo qui lui permettait de contrôler sa voiture.
-Où
va-t-on, s’il vous plait ? Demanda-t-elle, afin de pouvoir donner des
instructions a son bolide.
« Encore
faut il que le contrôle générale se soit désengager lui-même » pensa
t’elle.
Cela
faisait en tout et pour tout 5à 6 Mn qu’elle était là, et un contrôle de
navigation se désengage en générale dans les 5mn après le verrouillage du Pont
d’amarrage.
-Si
vous voulez je vous la pilote votre trottinette ? Fit le second
gorille . Moi je sais ou on va !
Il
avait bien comprit, qu’elle se souciait plus de sa voiture, que du danger
arrivant. Cela lui plaisait.
-A
mon cabinet, et hâtivement maintenant !! Tout pourrait tomber à l’eau, et
il faut absolument que demain tout soit remis sur les rails…
S’inquiétait
le professeur.
Elle
tendit la tablette qui ne représentait même pas la grosseur de sa patte énorme,
et le laissa s’en accommoder. Elle fut étonnée elle-même, de la facilité avec
laquelle elle lui céda ses affaires.
La
preuve peut-être qu’elle se sentait en confiance.
Ils voyaient tous, que Coline prenait des décisions
rapidement, et, que contrairement à eux, elle ne transparaissait pas l’angoisse
ni l’anxiété. Il n’y avait que les trois agents et le petit jeune qui avait
bonne mine.
Les yeux fixés sur le plancher du
monte charge, qui, était recouvert d’une feuille d’acier poli ;
Colline
voyait se refléter les 100 No d’étages
qui défilaient. Un éclairage jaune, clignotait dans le recoin droit de la boite
de métal, filant vers le bas. Un gyrophare orange, de la grosseur d’une balle
de tennis, éclairait en va et vient les faces blêmes.
Le
bruit assourdissant des câbles qui battait entre eux, et, le frottement des
roues avec la tige de direction, commençait
à s’estomper.
D’un
soulagement salutaire, deux ou trois petite voie venue de derrière, espéraient :
« On y est ?»
En
effet, pour eux, le parcours s’arrêtait là pour l’instant.
Pour
Coline aussi d’ailleurs en tous cas, pas dans cette boite de conserve.
-Claire,
le Lieutenant mon Maison, moi-même et Joël nous allons avec le professeur, vous
désactiver votre phénomène. Les autres restent avec Igor, et vont en sureté
pour l’instant… ! Dit Julia en la regardant un peu penaude.
Elle
pensait qu’elle l’effrayé un peu.
« Elle
avait du en apprendre un peu trop sur moi », se dit-elle…
-Prenons
vite l’ascenseur d’en face, afin d’arriver directement a mon laboratoire. Là
haut, nous seront en sécurité
Embraya
le Professeur d’un air soulagé, en étendant le bras fébrilement.
Le monte charge les avait descendu quasiment
en bas du colosse noir. En raison de la nuit obscure et vaporeuse, on ne voyait
même pas les hauteurs. Ils étaient passé par une des faces en biseau du plus
petit triangle des trois ;
En
rattrapant par derrière, une longue allée de deux cent mètres, toute ouatée de
verre.
Là,
afin d’arriver jusqu'à l’autre bout, et, ainsi rejoindre l’aile arrière du
second trigone, ils prirent les portes personnes.
Ils étaient ovales en trois quart,
et contenaient trois places chacun. Il y avait des petits coussins de cuir français,
intégrés par un soudage à froid, ainsi que des baquets pour le dos. Ouvert des
deux cotés sur son axe le plus long , et, se mouvant en tournoyant au
dessus du sol, grâce a un champ gravitationnel ; Telle une orbite
prédéfinie, afin d’arriver au point d’amarrage correctement:
(C’est
un système scientifique mit au point il ya de nombreuses années, qui permet de
garder une habitude d’espace distordu, de pesanteur, ainsi que de gravité.
Et
ceci, afin de palier a certains traumas, des voyages lointains et très rapides ;
Qui
nécessitent un coma gravitationnel, gardant
le corps en pesanteur, pendant les hyper-frottements, et les puissants contres
gravités subit, pour avancer dans l’espace.)
-Tenez
madame, dit Joël en tendant la tablette de contrôle.
J’ai
commencé à la faire venir, mais il y avait un synthétique assez teigneux, qui
ne m’a pas laisser prendre les commandes.
Il
a insisté pour que je lui donne l’objectif.
-C’est
Siryus, il est un peu flémard, mais très performant
« Siryus »,…
elle parlait dans sa montre bracelet, qui retransmettait dans la voiture
« Siryus tu m’entends… »,
-Il
à du mettre la musique cet imbécile ! dit-elle peu étonnée.
-Il
y a mon garage juste au dessus du laboratoire, c’est le 1027 ? No….. Il hésitât
un moment, 12-10-5008, et le professeur regarda
Coline qui était devant lui.
-Quoi,
qu’est-ce que cela veut dire !
Il
va falloir que vous me parliez très rapidement, je commence à me poser des
questions aux quelles je n’ai pas de réponses, il va falloir m’en donner.
Vous
savez, je n’aime pas trop qu’on me cache des choses, et quand je suis
contrariée, je ne fais pas forcément les choses de façon calme. N’oubliez pas
que je suis tout d’une jeune fille, mais que je peux vite basculer en démon …
Le professeur n’était pas rassuré,
il ne se tenait pas tranquille, il avait quelques spasmes qui le lui fit
remarquer.
-Vous
aviez raison Prof, dit Joël ironiquement. Elle à tout d’une enfant de cœur.
Ses
yeux se fixèrent sur son visage. Il avait rencontré des femmes dures, mais
jamais qui paru si honnête et si sincère dans ses intentions.
Installé
sur le porte-personnes qui contenait trois place ; en face de Joël et du
Professeur, Coline, avait l’air contrariée…. Le front plissé par la réflexion,
elle jeta un coup d’œil aux alentours afin d’y suivre tous les détails.
Le
mouvement orbital du moyen de transport la gênait, quant elle regarda en l’air.
Des spirales tournoyaient dans ses yeux, et, n’arrivaient pas à trouver un
point fixe. La grande voute de l’allée,
de plus de 30 Mètres de Large, tournoyait avec elle.
Aucun
détail significatif lui apparu .Plus elle essayait de regarder, et plus le
tournoiement et l’effet de voute, lui fit une impression de renfermement. Comme
dans une bulle en construction sphérique. Elle du se remettre à garder son esprit au
centre du véhicule, et de nouveau se concentrer sur ces voisins.
Joël,
bizarrement, avait un petit sourire en coin.
Ce
n’était pas un sourire trompeur, bien au contraire, c’était un signe de
loyauté, c’était un sourire franc.
Bien
qu’elle fait 1,83 Mètre, et que c’est une taille correcte pour une
femme ; Joël, donnait une impression de Yéti protecteur, il devait faire
au moins 2,20M et 120 Kg. Il avait une coupe de cheveux la raie sur le côté, ce
qui donnait une certaine rigueur traditionnelle, et, par conséquent avait du
avoir une éducation assez stricte.
De nouveau, amenant son poigné vers un visage délicat, mais tout autant
imprégné de sureté ; « Siryus… », « Arrête de te distraire
et sort Subotaï. Une fois que vous êtes à l’abri , vous vous chargez
de l’inspection habituel». « Nous y somme déjà , j’avais trouvé avant
qu’il donne le No, mais… C’est ta d… » Elle reprit avant qu’il finisse,
« Merci mon ami, fait se que je t’ai demandé, et tu pourra te servir deux
dose dans la réserve d’énergie, tu l’as bien mérité ». « Coline et
une bonne maitresse, merci, Coline est bonne avec Siryus »
-Qui
est Subotaï ? demanda Joël intrigué.
-C’est
mon Magicien Electro, après il me fait un rapport détaillé.
Par
exemple qui sont nos hôtes, et tout se qui va avec, n’est-ce pas
professeur ??
Coline était en train de penser qu’elle ne connaissait
toujours pas le Nom du Professeur, et, qu’elle s’était engagée dans une histoire
qui commençait en intrigue ; Cela ne lui plaisait pas du tout. Elle avait
l’habitude de faire des choses coordonnées, sans faille, avec des plans, tout
au moins au départ.
Elle
commençait a être agacée, il allait lui
désactiver sa rareté….
« Il
va falloir voir » se dit-elle dans sa tête. De plus elle ne sait pas
vraiment de quoi retourne la situation, et le professeur à l’air d’en connaitre
beaucoup sur elle et ses aptitudes.
Ils
arrivaient en fin d’allée. ..
L’un après l’autres, les deux PP ,
dans une fin de rotation, s’amarrèrent à un axe de fer rond. Dans son élan
électromagnétiques, les éleva de quelque mètres. Avançant sur la barre , collé
a une paroi toute droite, les fit montés vers l’ascenseur, par le recoin gauche en sortie de ligne.
Là,
comme dans une chaine industrielle, après avoir déposé lentement leurs hôtes,
mais sans s’arrêter vraiment ; Les PP contournaient un immense pilier de
4m sur 4, en redescendant vers le grand passage par le même chemin.
Le
professeur, se précipitât vers l’œillet
de sécurité de l’ascenseur, afin qu’il descende au plus vite.
Le rayon scanna sa pupille, et le
système se mit en marche. Il était réservé uniquement à son effet et à quelques
analystes, qui avaient une autorisation spéciale pour monter sur la tour
centrale.
Une
fois descendu, deux grande porte s’ouvrit vers le haut dans un mouvement de
rotation. Assez grand pour y rentrer deux voitures, le sol était a moitié en
bois et du même fer noir lisse du début.
Sur
le coté, prés de la boite vocal de commande, un siège assez rembourrez sortit
du mur tel un strapontin de lux. De même, une rambarde descendit du plafond et
s’amarrât au sol par un effet d’aiment. Dans le fond une grande glace :
typique des ascenseurs.
Par
un besoin constant l’homme s’assure toujours de son propre moi.
Et,
en le voyant, Joël le premier, ainsi que Claire, s’y précipitât pour se
remettre en ordre.
Une
fois tout le monde monté à bord, dans un silence constant depuis la fin du passage,
les portes se refermèrent lourdement derrière eux, et ,la boite d’acier commençait
à monter doucement.
Ils
devaient aller dans les hauteurs de l’aile d’à coté; Se qui obligeait l’ascenseur
à faire des mouvements latéraux dans les tunnels porteurs afin d’y parvenir.
Pendant
que le portage commence, Coline continue à penser et le professeur à devenir
moins pale plus calme.
Claire
et Joël chuchotaient dans le fond, et, toujours aussi calme, sans avoir dit
grand-chose pour l’instant ;
Le
Lieutenant ne bronchait pas.
Il
n’avait pas peur, mais une appréhension constante. Souvent, il avait le visage
interrogatif. « De plus, souvent il m’observe », pensa-elle.
Elle
avait bien comprit qu’il avait lui aussi un phénomène intégré. Le plus étonnant
est qu’il n’avait pas l’air forcément très expérimenté.
« Il
paraissait si Jeune ; 20 ans au plus.
Mais
quel était son rôle exactement. Il est Lieutenant tout de même, donc il à fait
son droit, et il à déjà du faire deux ans en contingent de Combat ; il est
nécessaire que je lui parle »
Le
portage continuait.
Elle
se dirigea vers lui, et d’un air interrogatif ;
-
Vous êtes comme
moi ?
-
Le professeur va
vous en dire plus… Vous allez comprendre.
-
Vous êtes si
jeune… Comment se fait-il ?...
-
Je suis le
dernier et le plus ressemblant à vos capacités, vous restez tout de même la
plus perfectionnée et la plus évoluée!
-
D’accord et
après,… je ne sais toujours pas de quoi il retourne ! C’est en rapport
avec nous ? Quel est le vrai problème ici, hein ?? Il y a-t-il un
problème d’état ?
Le
Professeur exaspéré s’interposa.
-
Il est nécessaire
mon enfant que vous soyez désactivé. Il en dépend de notre survie. Vous allez
comprendre et tout savoir dans dix minutes, ne vous inquiétez pas !!
Joël
et Claire continuaient à chuchoter.
Colline
savait bien qu’on parlait d’elle, qu’elle était la source de tout ce bruit et
des mots de tout ces gens.
Elle
n’avait pas encore tous les tenants et les aboutissants, mais, elle comptait
bien faire la lumière sur tous ces éléments.
L’ascenseur, dans un bruit léger,
glissait sur des rails en travers des blocs, passant d’une voie à
l’autre ; dans un mouvement continuel de part en part, afin d’arriver dans
la cime du Multi-Triangle.
Cette
face était exposée à la lumière synthétique extérieure.