Pensées
sombres, famille lointaine,
Des gens
heureux et moi en peine.
Illuminée,
la ville comme une scène,
Enfants
joyeux, et moi je traine.
Flâne assis
sur une fontaine,
Observe la
gesticulation humaine.
Les sourires
me gênent,
Fin d’une année
malsaine.
Solitude de
mon être sans ma reine.
Paradis
artificiels et ils m’entrainent,
Vers des
visions soudaines,
Du futur et ma
vie incertaine.
Le passage
de cette existence terrienne,
Pour moi
aura été veine.
Et l’éducation
chrétienne,
Pour moi n’est
pas certaine.
Aujourd’hui
né un dieu d’éden
Mais où est-il
avec ses rengaines,
Ce Seigneur
qui assène
Que la joie
doit être pleine.
Peut-être
faudrait-il que je m’abstienne
Des pensées
dont il m’enchaine.
Et sa mère,
oh non n’est pas magicienne,
J’attends toujours
qu’elle me soutienne.
Reste
dans mes visions souterraines,
Me cantonne
à cette vie draconienne…
Et le grave
dans le chêne !
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